L'épreuve du feu

J'étais paisiblement endormis, Moon Light était blottis contre moi.
- Étoile D'Arabie dépêche-toi ! cria une voie.
- Que... que se passe-t-il ? Dit-je encore endormi.
Je sortis péniblement ma tête. Touts mes guerriers et leur apprentis ressemblé les reines, leur poulains et les anciens.
- Que se passe-t-il Lune Noire ? demandais-je à la jument.
Il faisais encore nuit, mais tous le monde était réveillais. Je sortit de ma tanière en vitesse.
- Un incendie à éclatais ! Dans la lande je crois ? Répond-y telle.
- Rejoins les autres ! Regroupais touts les monde dans les abri de pierre. Ordonnais-je.
Visiblement heureuse que je me sente mieux, elle s'inclina et les rejoignis comme je le lui avais dit. La lande avais prit feu... Mais c'est le territoire du Vent ! Vif-Argent et sont troupeau doivent être en dangers ! Et le troupeau Du Tonnerre n'est pas loin ! Mais amis risquais un grave dangers.
- Lune Noire ! Prend quatre guerriers avec toi ! Et les apprentis vous restais la ! Criais je.
J'espérais seulement qu'ils m'est entendus. Mais comme je l'avais dit Lune Noire approcha avec trois jeunes guerrier et le lieutenant que n'est d'autre que mon frère. Nous nous l'entions au galop. Moon Light avais reprit sa place dans ma tête.
<<Passe par le territoire de L'Ombre !>>
Je l'écouta. Il était peut-être jeune, mais il avais la sagesse d'un ancien, enfin des fois... Le sable commençais à se raréfiais pour laissais place à de la broussaille. Sortant de nul par Moony approcha de moi.
- Où vas-tu comme-ça ? Je ne veut pas qu'il t'arrive des ennuis avec mon chef. Dit-elle.
- Pour allais vers la lande c'est plus court. Dit-je honte de défier le code du guerrier.
- Tu y vas à causse de l'incendie ? Demanda-t-elle.
- Oui ! Répondis-je.
- J'y aller aussi. Déclara-t-elle.
Nous repartirent à sept au lieu de six. Mais je devais avouais que la compagnie de Moony était agréable. L'aube commençais à montrais le bout de son nez. Ma robe brillais comme un soleil, celle de Moony comme la plus belle des fleures. J'arrêta ma troupe. Le chemin du Tonnerre, cette matière dur, puante et dangereuse. Plus d'un apprentis est mort renversais par un montre. Même des guerriers se sont laissais prendre au piège. Une de ces bête avec sa fourrure métallique passa à toute vitesse devant nous. Je regarda si il y en avais d'autre. Non, aucun monstres à l'horizon. nous traversâmes cette étrange surface. Je pénétra le premier sur le territoire du Tonnerre. Je pressa mais guerriers pour que l'ont se dépêchent de rejoindre le Troupeau de Vif-Argent. Lorsque nous arrivâmes, les chevaux du Tonnerre étais déjà là. Il regroupais les reines, les poulains et les anciens. Le feu prenais déjà le camps du Tonnerre. Je chercha Célesta des yeux tout comme Moony, tendit que les miens allais aidais les chevaux du Vent et du Tonnerre. Soudain je distingua une forme dorée. Je fit signe à Moony de me suivre. Elle étais devant la tanière de Vif-Argent, elle essais de poussais un tronc. J'entendis un hennissement sortir de la tanière. Malheur ! Vif-Argent était coinçai ! Nous partions aidais Célesta, Moony et moi. D'autre chevaux étaient venus nous aidaient. Nous réussir enfin à le sortir de sa prison.
- Étoile Céleste ! Étoile D'Argent ! Criais-je. Je vous demande, au nom du Troupeau Du Désert, si vous voulais bien me suivre chez moi en attendent que vos camps puissent être rehabitaient !
J'attendis la réponse de Célesta et de Vif-Argent, qui se dévisagés. Visiblement j'avais raison.

Vif-Argent et moi nous dévisageâmes. Je jetais un coup d'œil torturé à son Clan dévasté par des flammes orangées, nullement éteintes par la pluie qui tombait drue, et qui, au contraire, léchaient joyeusement arbres et diverses installations.
- Mon Clan est encore en bon état, l'incendie ne l'a pas touché, normalement... A par pour les installations frontalières qui ont grillées. Pour le reste, l'incendie est éteint.
Je jetais un coup d'œil vers le ciel noir, régulièrement zébré d'éclair délicatement bleutés, tels des bleuets printanier. Dans ma tête, Dwalath ne pipait mot, gardant un silence quelque peu dérangeant, troublé parfois par des toussotement qu'elle ne se gardait pas de retenir.
Soudain, je remarquai la présence de ma chère Dark Moon, si justement et adorablement surnommée Moony.
- Moony, m'écriais-je, étonnée. Tu es ici ! Pardonne mon égarement, mais ce feu si brusque m'a pris au dépourvu...
Elle me sourit, signe que ce n'était rien et que le tout était déjà pardonné. Elle s'approcha du couple étrange que nous formions, Vif-Argent et moi, Lune et Soleil et se rangea à nos cotés.
- Je vais vous aidez à réhabiliter vos Clans ! fit-elle joyeusement.
- Oh, Moony ! Ce n'est pas la peine ! Mais... c'est malgré tout, avec un immense plaisir que j'accepte..., dis-je, honteuse d'agréer à un tel service impliquant beaucoup de choses.
Ma protectrice ne pouvant se retenir plus longtemps éclata d'un rire retenu durant plusieurs heures qui empli ma tête. Je levai les yeux aux cieux, cependant qu'un nouvel éclair, très proche, s'abattit près de notre groupe, suivit de près par un grondement sourd : le Tonnerre, fondement même de mon Clan.
- Je vous aiderais aussi ! déclara gravement Azzlan, se collant immédiatement à une Dark Moon embarrassée qui s'écarta discrètement de quelques pas.
Nous renvoyâmes nos Guerriers, Lieutenants et Membres de nos Troupeau pour aller finir la Nuit dans le Troupeau du Désert, le temps que dureraient les Travaux de réhabilitation.
L'astre Lunaire fit alors une apparition timide dans les cieux orageux, nous baignant d'une illusoire clarté de nacre. Mon amoureux et moi nous sourîmes. L'aventure de nouveau nous réunissaient et rien ne nous comblait plus. A peine avais-je pensée ces mots, que mon corps tout entier fut secoué par un tremblement, suivit d'un chatouillement. Une douleur m'immergea le temps de quelques secondes, cependant que je rétrécissais. Je compris alors que je reprenais ma forme lupine.
- Dwalath ! m'offusquais-je, tu pourrais prévenir quand tu me donnes ta forme !
Elle ne répondit rien, en plein dans sa crise d'hilarité, des trilles joyeuses se répercutant en écho dans mon esprit.
Je m'ébrouai pensivement, reprenant possession lentement, mais surement de cette enveloppe charnelle adaptative. Les autres m'observaient, ébahi.
- Quoi ? demandais-je.
- Rien, s'empressa de marmonner Azzlan. Nous sommes juste ahuris devant cette aptitude naturelle chez toi à changer de forme.
- Ah..., répondis-je simplement, rougissant intérieurement sous l'effet de ce compliment.
Un regain d'excitation parcourut la jeune Guérisseuse du Troupeau de l'Ombre, à la robe de champ de roses pourpres. Je m'amusais de cette comparaison qui lui allait comme un gant et lui sourit en signe d'amitié. Elle y répondit avec plaisir, avant de me questionner :
- A quand les Travaux ?
Je sursautais quand Dwalath, devant moi, assise tranquillement, prit la parole :
- Bah... Dormons cette nuit, on s'y attaque demain ?
- Qu'est-ce que tu fais là ?! marmottais-je, sous le coup de la surprise.
- Eh, je fais ce que je veux ! me taquina celle-ci, faussement touchée.
Je lui tirais la langue avant de répliquer :
- Oui, reposons-nous avant l'aube, nous aurons bien assez de travail après... venez donc chez moi, ma Tanière est vaste ! Mais ne faîtes pas les brutes, j'ai mis du temps à l'aménager !
Je pris la tête du groupe, trottant allègrement jusqu'à mes Territoires dont je contemplai les frontières naturelles qu'étaient la rivière et ses bras morts avec fierté, fourrure au vent, Dwalath à mes cotés comme une improbable jumelle.
- Allez, venez ! les invitais-je, devant leur réticence à franchir les eaux tumultueuses.
La température de celle-ci me mordit sauvagement les pattes par sa fraîcheur, mais je nageais sans me plaindre, me retrouvant sur l'autre bord en un clin d'œil. Je vis mon Vif-Argent bientôt émerger, s'ébrouant.
- Ce n'est pas si terrible ! tempéra-t-il à l'attention des autres, aucun risque, approchez !
Finalement, ils consentirent à plonger, frissonnant sous la glaceur habituelle, laquelle ne me faisait pratiquement plus aucuns effets.
Après cet infructueux épisode, je les menais jusqu'à mon antre, mon petit chez moi qui dominait le monde des Clans de par sa hauteur.
- C'est splendide ! s'émerveilla Moony, devant la vue imprenable que j'avais des environs. Waouh ! continua-t-elle en apercevant ma caverne recouverte par un rideau purement végétal et embaumant subtilement.
Je ris sous les compliments avant de montrer à chacun sa "chambre" improvisée et de m'allonger confortablement, reprenant forme équine, aux cotés de Vif-Argent. Je blottissais ma tête contre la sienne, me laissant aller contre ses flans chauds avant de finalement trouver le sommeil, ressassant les évènements passés, euphorique de sa présence.

Avant de m'endormir je parla avec mes guerriers.
- Plume D'Aigle, vas prévenir les autre que nous passerons tous les cinq la nuit ici. Déclarai-je.
- Comme tu veut mon Frère. Dit-il d'un ton égale.
Puis il parti tranquillement au petit galop. Je retourna avec mais amis dans la grotte de Célesta. Elle est son amour était déjà endormi. Il y avais juste Moony qui dormais à moiter. Je me plaça contre elle. Bizarrement elle ne réagi pas. Elle semblais même appréciais ma présence. Le soleil filtre à travère le rideau de végétation. Je me leva mais guerriers était installais à côté de la grotte.
- Bon ! Criais-je pour les réveillais.
D'ailleurs se vu une grande réussite.
- Plume D'Aigle où est Célesta ? Demandais-je à mon frère.
- Elle nous à demandait de l'aidais et je... Je l'interrompis.
- T'a pas fait ça ?! Demandais-je exaspérait.
- Ben si je l'ai rembarrais et elle sait cassais ! Bon débarra ! Ricana-t-il.
- Toi attend qu'ont rentre chez nous... Et vous bougeais vous le cus !!!!!!! Cria-je de mauvais poil.
Je partie cherche Célesta. Elle était plantais au milieu du camps en train de donnais des instruction. Dès qu'elle me vus elle me glissa un regard mauvais. Je m'approcha d'elle.
- Je suis désolais pour le comportement de mon frère... Dit-je.
- Bon ok. Répond-t-elle.
- Si tu veut je peut te racontais son passais moi se soir. Dit-je.
- D'accord. Alors t'est amis peuvent aller chercher des végétaux dans la forêt. Il ne faut pas que sa soit mouillais et brûlais. Déclara-t-elle.
Je fit un signe de tête et alla prévenir les miens. Le crépuscule était la, hennis pour regroupais les guerrier autour de moi.
- Plume D'Aigle. Hennis-je. Dépêche toi de rentrais et commence les préparatif. Lune D'Ombre tu l'accompagne.
- Ok ! Disent-ils en cœur.
Je me retourna vers les autres.
- Moony, Célesta et Vif-Argent, approchais vous. Dit-je. Nous mènerons les troupeau ensemble.
Ils s'approchèrent et nous pur enfin partir.
- Célesta, Vif-Argent demain seulement vos guerriers et vos apprenti viendrons. Les reins et les anciens resterons chez moi.
- Oui tu à raison. Admit Vif-Argent.
Nous étions arrivais les miens montrais ou les autre dormiraient, Tendit que moi j'emmenai mes amis dans ma tanière.
- Alors Célesta tu veut toujours savoir pourquoi mon frère à réagis comme ça se matin ? Demandais-je
- Oui, allez raconte ! Me pressa-t-elle.
- Bon voici l'histoire de mon frère : Plume D'Aigle. Il est naît dans un élevage, mais ma mère la rejetais et à failli le tué. Depuis il est très agressif. Puis un jour des gens son venus dans son pré il l'ont attachais dans un camions qui puais la mort. Mais comme nos parents était des chevaux de haut ligné, des autre personne l'on achetais comme reproducteur, vu qu'il était impossible à montais. Mais des bipède l'on volé. Avec d'autre chevaux de la même race que lui et moi. Ils ont était emmenait dans un bateau. Mais le capitaine eu un problème et le navire s'échoua, libérant les chevaux. Las bas nous nous retrouvâmes. Avec plusieurs chevaux nous avons décidèrent de redonnais vis à un Troupeau disparut, décimais par une épidémie. Le Troupeau Du Désert.
- C'est un histoire assez triste... Admit Moony.
- Je comprend mieux son sale caractère. Ajouta Célesta.
Vif-Argent ne pipa mots. Je me sentais mal d'avoir révélais son, notre histoire. Je faisais passais celle qui nous avais donnez la vie pour une jument horrible ! Sentent ma détresse, Moony posa sa tête au dessus de la miens, comme une reine le ferais pour consolais son petit, se qui ne me déplais pas.Sûr ce nous nous endormions dans un sommeil réparateur.

c'est incendie avait fait peu de ravage dans mon camp. Mais pourtant je me sentais très mal et je n'avais aucune raison d'ailleurs. J'avais passer de belles journées en présence de Celesta. Tout ce dont un étalon pourrait rêver. Je regardais Ombre de Nuit donner des instructions. Les travaux avancais. Ma luitenant m'adressa un clin d'oeil complice. Je secouais la tête éberlué. Ce n'est pas son genre.
<< idiot ! tu vois pas qu'elle en pince pour toi ? >>
L'intervention de Croc me laissa encore plus ébranlé. je n'avais jamais fais attention. La pauvre, sa devait la faire rager de voir que j'étais déjà pris ! mais peut importe. Ce qui conte pour l'instant c'est le bien être du troupeau.

(dsl je suis pas très inspiré )

(pas grave ! )

Je me baladais tranquillement quand le camp du vent. J'eus un regard amusé en voyant Ombre De Nuit qui observais discrètement l'élu de son cœur : Vif-Argent. Je m'approcha d'elle.
- Ombre De Nuit, ne te fais pas de fausse idée. Vif-Argent et amoureux de, Célesta. Dit-je mal à l'aise, car il restais en moi encore des trace de mon amour pour Célesta.
- Tu n'est pas le mieux plaçais pour me faire la morale. Dit-elle d'un ton qui était digne d'un apprenti récalcitrant.
Je m'approcha de Célesta.
- Ombre De Nuit est amoureuse de Vif-Argent. Tu devrais lui dire de ne pas s'accrocher à ses rêve. Déclarais-je.
- Comme je l'ai fait pour toi ? Demanda-t-elle.
- Tais toi en peut ! Chuchotais-je.
Elle n'entendit même pas ma remarque. Elle discutais avec la lieutenant.

Furieuse, je défendais Vif-Argent.
- Ombre de Nuit ! dis-je dignement. Est-il vrai que tu éprouves des sentiments pour Vif-Argent ?
Elle me regarda de travers en lançant un coup d'œil énervé à Azzlan qui lui sourit innocemment de toutes ses dents. Elle finit par hocher la tête, avant de se reprendre :
- Et après tout, ça ne te regarde pas !
- Et bien, figures-toi que si, ma vieille, m'énervais-je, car Vif-Argent est mon fiancé !
Elle me dévisagea avant d'avoir une moue sadique.
- Hé ! Vous savez pas la meilleure ? hurla-t-elle.
Les chevaux qui travaillaient à amasser divers matériaux pour reconstruire de le Clan se figèrent dans leurs activités avant de fixer la lieutenant, les prunelles torves.
Je voulus l'arrêter, mais elle poursuivis, n'ayant de cure de moi qui la poussai la tirai, essayai de la blesser :
- Alors vous aller être rassasié en ragots ! Célesta est amoureuse de Vif-Argent ! Ah, quelle imbécile cette jeunette qui gouverne le Clan du Tonnerre...
Mais la jument n'eut pas le temps de poursuivre sa phrase qu'elle se retrouvait confrontée à deux étalons en fureur : Azzlan et Vif', cependant que des rires parcouraient l'assemblée...

(P.S : je suis vraiment confuse, mais ce texte est vraiment nulle... Dsl, vraiment, mais l'inspiration m'abandonne quelque peu, du fait de la chaleur et de mon mal au dos fort insistant...)

J'étais plantais devant Ombre de Nuit. La pour une fois je me dit que j'aurais du me taire.
- Ombre De Nuit n'est qu'une menteuse ! Criais-je. Tous le monde le sais que deux chevaux de troupeaux différent ne peuvent pas s'aimais.
Vif-Argent m'adressa un clin d'œil complice.
- Oui comment pourrais-t-elle m'aimais elle ne me vois que au assemblée. Déclara-t-il. Et pus se n'est qu'une ennemie.
<<J'espère qu'elle ne nous croie pas.>>

Célesta :
Choquée, je les observais. Vif-Argent ne me regardait pas, concentré à défendre son non-amour pour moi, devant les autres. Plus tard, me rappelant ses souvenirs, je me suis dit que j'avais été une parfaite imbécile de croire au sérieux leurs paroles, mais c'est pourtant ce que je fis...
Des larmes suintant de mes prunelles vert printemps, n'écoutant pas la voix de Dwalath, je m'enfuis au galop, mes pas me portant loin, très loin. Je pleurais sans vergogne, me fichant que l'on me remarque, ne souhaitant que mourir, dépérir dans un coin, sans l'avis de personne...
Je fermais hermétiquement mes pensée à mon Totem qui essayai de me faire entendre raison. Finalement, elle sortit de mon corps pour me faire rebrousser chemin. Je la rouai de coups de abots avant de poursuivre ma route en solitaire. Une idée bien précise avait germé dans ma tête : me jeter de la falaise qui surplombait tous nos Clans. Ainsi, il me verrait, celui pour qui je vouai une confiance absolue, un amour sans failles, ainsi que tous les autres. Ils verraient mon sacrifice pour lui...

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Dwalath :

Surprise par la réaction virulente de cette teigne aveuglée par cette peste noire appelée communément amour, je la maudissais avant de capter faiblement ses pensées entâchés de désir ardent de mort.
- Quelle Biiiip ! maugréais-je, avant de me remettre légèrement sur pattes.
Elle avait bien choisie son moment... Et où étaient ces deux imbéciles de conciliants qui avaient presque assurément causés son prochain Trépas ? Il leur en cuirais si jamais ça arrivai... Bon, d'accord, Célesta est une petite sotte trop sensible, mais quand même...
Je grognais avant de courir à la vitesse de la lumière (bon, peut-être pas quand même, j'exagère...) au Camp de nos chers amis qui allaient passer un sale quart d'heure. Je trouvais en premier lieu monseigneur Azzlan, en train de brouter quelques herbes appétissantes. Pouah ! Que dis-je là ? Du manger de cheval, oui ! Je lui mordais sans lésiner un jarret, cependant qu'il sursautais.
- Dwalath ! fit-il, la bouche pleine d'une touffe de graminées. Qu'ef' que tu fais ivi ? Et où est encore pavé Félesta ?
- Pas le temps de faire dans les détails ! répondis-je, agacée, suis-moi !
- Mais...
Je l'attirais vers moi avec force :
- Arrête tes pitreries, elle va mourir, pigé, crâne de piaf ? Alors file chercher ton pote Vif-chais-pas-quoi !
- Mou-mou...
Il manqua de s'étouffer et je dus lui mordre l'oreille pour qu'il se décide à venir chercher le second fauteur de trouble. Vite, le temps pressai ! La course contre la mort était engagée...

<<Dwalath, cette peste embulente ! Mais je la hais !!!!!!!!!!>>
Je me retourna pour chercher Vif-Argent mais le chef lunaire n'était pas la.
- Toi tu fait parti du troupeau du vent ? Demandais-je à la vas vite.
- Oui il est parti dans sa tanière. Dit-il.
Je me précipita vers sa tanière, Dwalath à mes sabot.
- Vif' Célesta est en danger ! Criai-je.
- Quoi ?!
Me j'étais déjà parti. J'allai voir Ombre De Nuit.
- Un de mes apprenti est en danger je doit me dépêchais d'y allais. Ah Vif-Argent viens avec moi. Dit-je vite en continuent ma course.
Vif-Argent me suivi. Dwalath nous emmena vers les gorges.

Dwalath :

Un brin amusée, je sentais la franche animosité qui émanait de l'incapable-sans-cervelle-et-andouille-amoureuse, j'ai nommé Azzlan. Je lui tirais la langue dans son dos, cependant que je trottais vivement jusqu'à Vif-Argent, le sermonner un bon coup.
- Nan mais qu'est-ce qui t'a pris de raconter ça à ton zamour ? Elle t'a crue, andouille !
Le corps comme flasque, léthargique, il leva la tête vers moi, des larmes coulant de ses grands yeux. Il ne répondit pas, me laisser deviner combien il était désolé de son geste irraisonné et que jamais il ne se pardonnerait si d'aventures il arrivait quelques chose à sa petite-chérie-imbécile.
Pfff, cet amour ! Il me sortait par les trous de nez ! Mais bon, il en allait de la vie de la plus-grande-sotte-de-l'histoire... Or, on ne joue pas avec la vie (et c'est moi qui dit ça...).
Bref, je tirais notre cher Azzlan le Conciliant (on passe au noms de barbares, maintenant !) ainsi que Vif-Argent le Larmoyant (qui, entres nous, marchait tout seul, tant qu'on lui disais où était sa Célesta...).
Après un épisode "Par où on va, je suis perdu ?", nous trouvâmes finalement les gorges de la Mort, niarf, niarf... Hum, pardon... Je disais donc, nous arrivâmes au lieu du suicide de Célesta la Trop Sensible, qui n'était justement pas là ! Je fronçais les sourcils. Mais où s'était-elle encore planquée ?
Vif' la Lenteur fut pris d'une crise d'impassibilité, ses traits se décomposant à cette nouvelle.
- Célesta ? Célesta ! appelions-nous en chœur, l'étalon se muant en statue.
Finalement, j'eus une illumination. Peut-être avait-elle déjà sauté ? J'esquissai un ricanement avant de me rendre compte que c'était de celle que je devais protéger que je parlais. Mes pas me portant au bord de la ravine, je penchais la tête, la bile me montant à la gorge.
A terre, sa robe dorée souillée par le sang et la terre, Célesta gisait, inconsciente, peut-être même morte...

Je suivi Dwalath et je regarda le sol, je tremblais d'horreur ! Je descendit pas le petit chemin qui était sur le côté. Je n'était pas guérisseur mais je voyais c'est côte qui se soulevais péniblement. Je m'approcha d'elle au triple galop.
- Célesta ? Demandais-je inquiet comme le serais Plume D'Aigle avec moi.
- Vif... Argent ? Bégailla-t-elle.
- C'est moi, Azzlan. Dit-je en posant doucement mon encolure sur son ventre.
Dwalath arriva visiblement inquette.
- Il faut l'emmenais chez moi. Dit-je sentent que ma "sœur" n'allait pas bien.
- Mais le territoire de Vent n'est pas loin. Dit-elle.
- Et Vif-Argent ? Il vont savoir que se que il à dit n'est pas vrai. Dit-je.
- D'accord. Je vais entrais en elle et lui donnais de mon énergie comme sa elle pourra avançais.
Elle le fis immédiatement. Mon oreille était collais contre le flanc de Célesta. Mais étrangement j'entendit quelque chose.
<<Seraisse... ? Non, se ne peut pas être sa.>>
Nous l'amenons chez moi voir mon guérisseur et je pense que Vif-Argent va le voir aussi car notre statue n'a presque rien dit. Nous étions arrivais je l'emmena en vitesse.
- Regarde voir, je crois qu'elle est plei... Mais personne n'entendit la suite de ma phrase a cause des apprenti qui était devant l'antre et qui se disputais. J'allai les voir immédiatement pour les faire taire.
- Et ne dit a personne se que tu fais. Ordonnais-je au guérisseur.
J'allai voir Vif-Argent.
- Tu doit rentrais chez toi et dire que Célesta est morte. Mais sinon elle est gravement blesser elle doit restais ici. Déclarais-je.
- D'accord, je dirais qu'elle à glissais dans les gorges et qu'elle s'est noyais. Répondit-il.
Et il reparti comme il était venu. Je retourna voir Célesta.

Mal, j'avais mal... Je voguais dans un océan de souffrance. Une douleur annihilant toutes pensées et gestes sensés m'immergeait, tandis que je souhaitait plus que tout voir Vif-Argent. Je regrettai à présent ce que j'avais fait, ce suicide irraisonné. A travers mes paupières closes, je voyais des choses, des points lumineux forts étranges...
Soudain, un coup porté à mon ventre me fit gémir. Qu'étais-ce donc ? De nouveau, mes réflexions furent noyées dans un flot irréalité...
Le temps était figé et pourtant passait sans que je m'en rendre compte. Après ce qu'il me parut tout de même une éternité, mes paupières d'elles-même s'ouvrirent. Personne n'était là, la nuit m'enveloppait de sa douce bienveillance, les criquets stridulaient. Avec difficulté, je me relevais, quelque chose gigotant étrangement dans mon ventre...
Je déambulais dans une prairie que je ne reconnaissais pas. Je regardais autours de moi, mais n'assimilait rien à quelque chose de connu. Soudain, une chose me sauta dessus. De peur et de surprise, je hennis et bondissais en arrière. Un étalon à la robe alezane me faisait face.
- Célesta ! Tu vas mieux ! Vif-Argent et Dwalath vont être super heureux ! se réjouit-il.
Étonnée, je l'observais. J'étais sensée le connaître ? Et Célesta, c'était donc moi ? Brusquement, une chose me frappa : de rien concernant ma vie, je n'avais de mémoire...

- Célesta, calme toi ! Répondit-je.
- Qui est tu ? Demanda-t-elle.
- Je suis ton amis, Azzlan, toi... Je m'interrompit.
- Plume D'Aigle ! Criais-je.
Il arriva au petit galop.
- Vas me chercher Étoile D'Argent. Ordonnais-je.
Il parti aussitôt. Au bout d'un 1 H je vis la robe de Vif'.
- Oh ! Ma Célesta. Dit-il.
Il s'approcha d'elle pour la prendre contre lui, mais elle reculas.
- Laisse moi ! Et qui est... Elle ne pus terminer sa phrase.
On aurais dit que quelqu'un lui parlais mais qu'elle ne voulais pas le croire. Je me tourna vers Vif'.
- Je crois qu'une louve au caractère bien trempait vas s'en chargés. Dit-je.
- Vif-Argent me regarda pas très sûr.

<< Célesta ? souffla dans mon crâne une voix au timbre menaçant, sifflant tel un serpent. >>
Je me figeais, incapable de bouger, de l'écume perlant de mes lèvres, cependant que mes prunelles se retournaient, comme pour voir dans ma tête qui me parlait de cette manière. Je frémis.
<< Écoute moi, idiote, écoute la voix de la sagesse... Tu es Célesta, je suis Dwalath... >>
Hypnotisée, je l'entendais clamer l'identité de diverses personnes, m'envoyant une image mentale au moment où elle prononçait les prénoms. Peu à peu, en un flot de souvenirs perdus, ma mémoire revenait, se reformait.
Ainsi, j'avais frôlé la mort de près, voulant me sacrifier pour mon amour, un amour que j'avais cru réciproque mais qui ne l'était pas... Sans prendre compte des conséquences, je l'avais aimé. Ne nous l'étions-nous pas prouver, d'ailleurs ? Pourquoi m'avait-il abandonné, dans ce cas ?
Le chagrin, mordant, impossible à retenir me revint et des larmes se formèrent au coin de mes yeux. Je m'écroulais à terre, un semblant de sanglot me secouant.
- Oh, ma Célesta ! s'inquiéta une voix douce. Pourquoi pleurer ?
Cette voix, sa voix...
Il se laissa tomber à mes cotés, cependant que j'essayai de me relever, de m'enfuir. Ne plus le voir était la meilleure solution pour ne plus souffrir, oublier...
Mais il me retint fermement, éloignant de moi toutes lubies étranges. Il attira ma tête vers la sienne et planta ses prunelles de nacre dans les miennes. Ce que j'y lu alors me fit lâcher prise et recommencer à espérer follement. De la tendresse peuplait ses iris de nuit impénétrable ainsi que... de l'amour ?!
- Ne t'inquiète plus, tout ira bien, c'est fini... me chuchota-t-il, cajoleur.
Je m'arrêtais de trembler, du désarroi sur mes traits. Il compris alors et me murmura à l'oreille :
- Quand j'ai dit ça, ces paroles qui ont failli causer ta mort, c'était pour te protéger, sinon, ils nous auraient tuer... Je t'aime et tu le sais.
L'information résonna un instant dans mon cerveau et Dwalath ricana. Alors, moi aussi, je compris et voulu me jeter à son cou. A ce moment, la chose dans mon ventre remua de nouveau...

Célesta semblais vraiment mal, mais au moins tous ses souvenir étais revenu... Moi j'étais tapis dans l'ombre pour ne pas les déranger. Dans un hennissement de douleur célesta s'écroula. Je me jeta de ma cachette et arriva près de Vif-Argent.
- L'amour et l'amitié sont des sentiment difficile pour des chevaux. Murmurais-je à l'oreille de Vif-Argent.
Je reparti dans la direction de l'antre de mon guérisseur pour l'amenais ici. Quand je revient enfin, Vif-Argent était couchais près de sa belle.
- Mais qu'est qu'elle a ? Demanda-t-il.
- Elle attend un petit. Répondit simplement le guérisseur.
- Quoi ? Demanda Vif' interloquais.
- T'est sourd ou tu le fait exprès ? M'exclamais-je.
Vif-Argent ne répondit rien. Le guérisseur s'approcha de Célesta et répondit.
- Se n'est pas encore le moment. Allais viens ma belle ont va chez moi tu y seras mieux. Déclara-t-il en aident célesta à se redressais.
- Et vous les deux incapable ! Ordonna-t-il. Aidais moi un peut !
Moi et Vif-Argent ont rigolais alors que le pauvre guérisseur se demande se que nous fichons. Au bout d'une min Célesta était déjà sur ses quatre sabot et était chez le soigneur.

Un petit, un bébé, un poulain... Voilà ce qui remuait dans mon ventre...
Déphasée, je fixai le soleil opalescent se lever, dardant ses premiers rayons, enflammant ma robe. Comment cela avait-il pu arriver ? Je respirai difficilement, cependant que la nouvelle pénétrai en moi et qu'une joie pure et sauvage m'envahissait. Après tout, ce n'était pas une mauvaise nouvelle ! Personne n'était mort ! Je souris et Dwalath ronchonna un <<Ferme-la, je dors, à mi-voix. >>.
Soudain, Azzlan surgit à mes cotés et me lança un regard heureux.

(P.S : dsl, j'ai pas d'inspiration... T______________T)

J'étais heureux pour Célesta et Vif-Argent. Se poulain serais le fruit de leur amour.En tous cas cette journée se termine plus bien. Bon on aurais pu évité un suicide. Mais grâce à sa ont à découvèrent que quelqu'un vivais...
- Célesta veut tu restais ici le temps que ton poulain naisse ? Demandais-je.
Elle semblais hésitais. Car avant tous elle était chef. Sa serais plus facile si Vif-Argent fessais parti du Tonnerre...

(Se n'est pas grave !)

Cette question... J'hésitais. J'étais Chef après tout et je ne pouvais laisser mon Troupeu à l'abandon ! Mais en même temps, mon amour pour Vif-Argent et le futur-poulain me retenait sur place, pour pouvoir rester librement en sa compagnie. Que faire ? Dwalath ne pipait mot, me laissant faire mes propres choix, mes expériences. Oh, que la vie serait simple sans ces conflits sans raisons entres Clans, si tout le monde était égaux !... Ce que nous étions d'ailleurs, mais pas en grades...
Je soupirais.
- Que me conseilles-tu, Azzlan ? le questionnais-je, partagée entres deux terribles dilemnes.

Sa réponse me surprit, mais je lui répondit-je.
- Tu ferais mieux de rester dans la pouponnière de mon troupeau. Tu pourra discutais avec les reines. Mais surtout le voyage ne te fatigueras pas. Déclarai-je.
J'attendit sa réponse.

Il avait sans doutes raison, aussi hochais-je la tête. Je soupirais ; tant d'évènements, de choses qui se bousculaient...!
Avec nostalgie, je m'allongeai sur le sol herbeux, mâchouillant quelques graminées, observant le soleil, joyau des cieux, opale incandescente, Des nuages aux stupéfiantes nuances marbraient la voûte céleste. Alors, devant ce paysage, je me mis à pleurer, sans retenue.
- Célesta ! entendis-je hennir, apeuré, Azzlan. Que se passe-t-il ?
- Rien...Rien, chuchotais-je entres deux sanglots.
Il s'écarta et fit quelques pas en arrière, sa cadence rythmée raisonnant d'inquiétude envers moi.
- Rien que tu ne puisses comprendre, ajoutais-je, bouleversée, dans un souffle avant de m'écrouler sur la terre, inconsciente, la fatigue l'emportant sur le reste...

(Bon j'ai trop la flemme de tout reprendre depuis que je suis partie, donc je reprend dans l'instant présent xDD Et merci beaucoup d'avoir fait vivre mon perso, c'est trop sympa ^^)

Une légère euphorie me prit. Cachée dans les hautes herbes, je venais d'entendre la bonne nouvelle : un poulain, fruit d'un union passionnel, allait bientôt naître. Célesta s'écroula de fatigue et je m'approchait d'elle. Azzlan me regarda étrangement. Je n'aimais pas ces regards. Beaucoup trop tendres à mon goût. Je détournais la tête et m'approchais de la belle jument. Je collai ma tête contre son ventre et entendit remuer un petit être, une âme gémir. Je souriais et relevais lentement la tête quand soudain une voix résonna, telle un écho, entre les arbres et les fleurs environnante. Je ne pu distinguer ce qu'elle avait dit et je fronçais le sourcils pour me concentrais et l'entendre de nouveau. Rien. J'étouffais un rire. Tous ces événements m'avaient tellement perturbée qu'à présent j'entendais des voix ! Puf ! N'importe quoi...
Je me relevais et m'approchais de Vif Argent.
- Tu es heureux ? demandais-je simplement.
Il retint une larme de bonheur et opina.
Je me couchais alors un peu plus loin contre un vieux chêne. Cependant, quelque chose m'intriguait dans cette grossesse soudaine. Si je me souvenait bien, Célesta et Vif Argent n'étaient pas ensemble depuis plus d'une semaine... Serait-ce l'enfant de quelqu'un d'autre ? Je n'aurais pu le certifier. La magie peuplait tellement les temps environnants que plus rien ne me surprendrai, pensais-je. Mais j'étais loin de me douter de la suite des événements... Sur ce, je m'assoupit, me laissant aller à mes pensées plus farfelues les unes que les autres, un léger sourire aux lèvres...

(Ouais bon j'ai pas tellement d'inspiration dsl Chuis pas trop dans l'ambiance aussi ><)

(Mais de rien ^^ Et ce n'est rien pour la flemme, je l'aie aussi, depuis que je me suis réveillée et c'est mauvais, si tu veux mon avis ! Alors, j'écoute de la musique pour essayer de vainement me sortir de ma léthargie, mais au contraire, ça me fait dormir... TT Dsl aussi si je ne continue pas tout de suite, je suis censée être punie d'ordi et pas que je me lance dans un truc et que ma mère me surprenne après en rentrant... U_________________________U)

(Ouais )